Pour
chasser de sa pensée une mégère difforme au faciès d'hippopotame qui
vous persécute incessamment, la philosophie hindoue est d'un grand
recours, en particulier la Vajracchedikâ Prajnâpâramitâ où sont exposés
les principes de la doctrine de la vacuité. Sa stance finale, l'une des
plus belles de toute la littérature bouddhique, en exprime la
quintessence sous une forme extrêmement poétique. Alors attention, hein !
(Samuel Slippensohn, Follicules palingénésiques)
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