Peut-être,
à l'instant de « décéder », l'homme du nihil regrettera-t-il la douceur
des soirs à Saint-Clément, quand les souffles légers portent l'odeur des
foins et le parfum miellé des clématites. Mais il y a une chose de ce « monde de néant » qu'à coup sûr il ne regrettera pas : c'est l'homme (le « monstre bipède »).
(Fernand Delaunay, Glomérules)