En
novembre 1944, Sándor Márai note dans son Journal : « Je ne vois aucun
intérêt pour moi de continuer à vivre. » Mais l'écrivain hongrois était — du moins faut-il le croire — d'un tempérament lymphatique, car il
ne mettra fin à ses jours qu'en février 1989.
(Louis Ribémont, Mémoires d'un gluon)