« Quand j'entends le mot vivre, je sors mon revolver ou du poison. » (Luc Pulflop)
mardi 31 juillet 2018
Différence de moyens
Comme Rascar Capac dans le cauchemar de Tintin, l'homme du nihil est un « mort vivant ».
Mais quand le prince inca lance de relativement inoffensives boules de cristal sur le vulgum pecus, l'homme du nihil, lui, se sert d'aphorismes hyperacides et contondants qu'il projette sur l'omnitude pour la concasser et en faire « la forme apologétique du suicide compulsif ».
(Hermann von Trobben, Le Monocle du colonel Sponsz)
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire