« Quand j'entends le mot vivre, je sors mon revolver ou du poison. » (Luc Pulflop)
vendredi 12 octobre 2018
Licence poétique
On sait que Luc Pulflop, non content de comparer le monde aux génitoires d'un âne, assimile volontiers l'existence à un éléphant. Sans entrer dans des détails scabreux, nous croyons que c'est uniquement la rotondité de la trompe, et les élévations frontales du puissant animal, qui ont pu prêter à ce poëte une comparaison aussi fantastique.
(Johannes Zimmerschmühl, Pensées rancies et cramoisies)
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire