« Quand j'entends le mot vivre, je sors mon revolver ou du poison. » (Luc Pulflop)
vendredi 12 octobre 2018
Sur les cimes du désespoir
L'humeur sans espoir du suicidé philosophique perce dans cette note laissée par un étudiant japonais qui commit l'homicide de soi-même en ingérant du taupicide : « Depuis le 24 décembre, j'ai bu chaque jour. Quand je bois, une fois sur deux je suis ivre mort et ne me souviens de rien. Je ne pense à rien, je n'écris rien. Mes dettes ne cessent de s'accumuler. (8 janvier 1939) »
(Marcel Banquine, Exercices de lypémanie)
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