Le temps
laisse après lui un sédiment qui imite assez bien les excréments
d'oiseaux marins. Si l'on met de côté sa couleur pourpre et sa faible
concentration en azote, il a tout du guano. C'est pourquoi un être en
proie à la mélancolie s'exclame volontiers : « Guano ! Sédiment pourpre
du temps ! »
(Fernand Delaunay, Glomérules)
« Depuis que le guano se vend en tube, il faut le vouloir pour rater ses marines. »
RépondreSupprimer(Chevillard)