L'homme
du nihil en a soupé des « événements » et de l'inattendu. Il est
possible, comme l'a prétendu Héraclite, que la vie soit dans le
mouvement. Mais la vie, justement, c'est ce qui le rend malade. Il
n'aspire qu'à se dissoudre dans « les frimas languissants d'une routine
en forme de gluon ».
(Fernand Delaunay, Glomérules)