La
discrétion quasi cénobitique des crossoptérygiens est remarquable,
comme sont leurs nageoires au lobe basal charnu bordé d'une frange de
lépidotriches. Le monstre bipède, au contraire, fait un barouf de tous
les diables : c'est un « gueulard ».
(Louis Ribémont, Mémoires d'un gluon)