Luc
Pulflop a comparé le monde aux génitoires d'un âne. Mais on ne voit pas
trop quelle est la logique sous-jacente à cette comparaison. Il aurait
dû dire plutôt une gerboise damasquinée. Car comme la gerboise, le monde
peut effectuer des bonds de deux mètres et courir à une vitesse
avoisinant les vingt-cinq kilomètres par heure. Et il est enchâssé
d'ornements en relief (il est damasquiné).
(Louis Ribémont, Mémoires d'un gluon)
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