Paul
Morand tient absolument à nous faire savoir qu'il a épousé une
princesse Soutzo, qu'il fréquente des « gens de la haute » et qu'il
connaît Venise comme sa poche. C'est un peu fatigant, à la longue. Il
est ce qu'on pourrait appeler « un individu antipathique ». En plus, tout
ce qu'il a écrit est sans intérêt. Ça manque de fond, comme dirait
l'autre.
(Henri-Marcel Chissant, Hippocastanacées)