« Quiconque
jette de son cerveau aucuns roman, sonate, tableau de peinture, par
lesquels il gâte ou souille l'esprit des passants, le passant peut en
justice exiger, et demander double réparation, et restitution du dommage
par lui supporté dudit jeteur, laquelle double restitution lui doit
être adjugée. »
(Lucien Ganne, Syllogismes de la mer Rouge)