Dans
son épitaphe pour Dungal, Alcuin écrit : « Te precor, omnipotens
quadrati conditor orbis », c'est-à-dire « Je te prie, tout-puissant
créateur du monde carré ». Il tient pour acquis que la terre est carrée,
mais contrairement à Bender, il ne suppose pas que nous vivons à
l'intérieur — et on ne va sûrement pas s'en plaindre vu qu'on a déjà
assez d'emmerdes comme ça.
(Lucien Ganne, Syllogismes de la mer Rouge)