« Quand j'entends le mot vivre, je sors mon revolver ou du poison. » (Luc Pulflop)
jeudi 20 décembre 2018
Diversions
L'homme du nihil arrive parfois à distraire son marasme par la contemplation d'objets insolites ou par des réflexions sur la condition végétale, enfin par la description méticuleuse d'excréments fossiles que les savants nomment coprolithes. De ces divertimenti, il sort pénétré de l'opulente immensité du Rien, mer plate qui recèle un iode puissant dont nul opium ne procure des enchantements aussi variés, aussi recommencés.
(Théasar du Jin, Carnets du misanthrope)
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire