« 30
avril, 22 heures 35. — Cioran commence à me saouler, avec son “irréparable”. Quelle grandiloquence, ma parole, et quel manque de tact,
chez ce Roumain ! Tu appuies trop, mon ami ! » (Stylus Gragerfis,
Journal d'un cénobite mondain)
(Fernand Delaunay, Glomérules)
(Fernand Delaunay, Glomérules)
On ne peut que se désolidariser d'une telle attaque... Et puis, avril de quelle année ? Tout cela traduit une confusion probablement due à un embarras gastrique...
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