« Quand j'entends le mot vivre, je sors mon revolver ou du poison. » (Luc Pulflop)
dimanche 24 avril 2022
Progressisme
Si
quelqu'un est hostile au changement, à toute espèce de changement,
c'est bien l'homme du nihil. Il trouve que « ça va déjà assez mal comme
ça, merci ».
Il est facile de contredire autrui à l'aide de pseudo-arguments de pacotille pour ne jamais avoir à se préoccuper de ses propres contradictions. En REALITE vous n'avez qu'un seul dieu et aucune femme n'a le droit de lire, d'étudier, loin de vos foudres patriarcales. Toujours il faut que vous encagiez les femmes émancipées de vos cloches rimbaldiennes et de vos îles porno-graphistes vampiristes complètement à côté de la plaque. Monsieur, cessez de m'encager, de m'abrutir, et d'écrire de façon inversée à qui vous dérange parce que seule la haine vous tient. la haine et quelques élus bien obéissants à votre programme mortifère et passablement délétère. J'étudierai et je ne vous demande pas la permission de le faire. pas davantage qu'à vos chiens et chiennes de garde réservant la philosophie à quelques élus mirifiques de pacotille. ces gens ne lisent pas les textes, ils déblatèrent comme vous le fait sur qui dérange ce que vous considérez comme votre propriété, à savoir la toile virtuelle. On s'en fout de vos délires et de vos projections parce qu'elles n'ont aucun sens et sont constamment hors-sujet.
Il est facile de contredire autrui à l'aide de pseudo-arguments de pacotille pour ne jamais avoir à se préoccuper de ses propres contradictions.
RépondreSupprimerEn REALITE vous n'avez qu'un seul dieu et aucune femme n'a le droit de lire, d'étudier, loin de vos foudres patriarcales. Toujours il faut que vous encagiez les femmes émancipées de vos cloches rimbaldiennes et de vos îles porno-graphistes vampiristes complètement à côté de la plaque.
Monsieur, cessez de m'encager, de m'abrutir, et d'écrire de façon inversée à qui vous dérange parce que seule la haine vous tient. la haine et quelques élus bien obéissants à votre programme mortifère et passablement délétère.
J'étudierai et je ne vous demande pas la permission de le faire. pas davantage qu'à vos chiens et chiennes de garde réservant la philosophie à quelques élus mirifiques de pacotille. ces gens ne lisent pas les textes, ils déblatèrent comme vous le fait sur qui dérange ce que vous considérez comme votre propriété, à savoir la toile virtuelle.
On s'en fout de vos délires et de vos projections parce qu'elles n'ont aucun sens et sont constamment hors-sujet.