Un
jour, nous rencontrons le Rien, par exemple sous la forme d'un arrosoir
en zinc. Cette rencontre nous fait sortir illico presto du rêve que
nous avions appelé jusqu'à ce moment « réalité empirique ». Et alors nous
nous réveillons très seuls, effroyablement seuls.
(Louis Ribémont, Mémoires d'un gluon)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire