La
biologie moléculaire, et singulièrement sa composante appelée biochimie
métabolique, nous fournit des raisons non pas de croire mais de penser,
humblement peut-être, à l’infinie complexité des processus à l'œuvre
dans une tête de chien couché. Il y a de quoi avoir le vertige.
(Henri-Marcel Chissant, Hippocastanacées)
Si l'observation modifie l'observé, il y a fort à parier que tous ces processus font "jore". Il n'y a pas d'œuvre ni, a fortiori, de vertige.
RépondreSupprimerC'est vrai. Cela nous avait échappé.
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