Claudel
ne voulait pas paraître débraillé, même quand il allait aux ouataires. « Les doubles-vécés ! Redressons-nous et rectifions notre tenue avant de
pénétrer dans cette froide et solennelle enceinte », écrit-il dans son
Journal (p. 737).
(Henri-Marcel Chissant, Hippocastanacées)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire