Paul
Valéry portait un pet-en-l'air que lui avait offert la princesse de
Polignac et qui ne lui allait pas du tout. Malgré sa lucidité presque
surhumaine, il était le seul à ne pas s'en apercevoir. Vêtu de son
pet-en-l'air, il écrivait des aphorismes tels que : « Le sentiment d'être
tout et l'évidence de n'être rien ».
(Henri-Marcel Chissant, Hippocastanacées)
A chaque fois qu'elle le voyait avec, la princesse en retombait dingote.
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