L'éditeur
de Baudelaire, Poulet-Malassis, avait tout essayé : le fauteuil à
oreilles des Auersberger, la banquette de la salle Bordone — d'où il
pouvait contempler L'Homme à la barbe blanche du Tintoret —, le cône
de Roithamer... rien n'y faisait. Il avait toujours « mal au fiak ». Le
pire était le cône de Roithamer (à cause de son bout pointu).
(Henri-Marcel Chissant, Hippocastanacées)
Une sorte de malédiction.
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