Comme son maître le Corrège, le Parmesan était d'un naturel bonhomme, mais sa complaisance avait des limites : il refusait absolument d'être mélangé à des soupes ou à des risottos. Il disait que cela, à coup sûr, anéantirait ses efforts pour rompre avec les codes classiques de l'harmonie.
(Gilbert Garistre, Aveux et anatropes)

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