Le poëte communiste Éluard écrivait le mot liberté presque partout : sur ses cahiers d'écolier, sur son pupitre, sur les arbres, sur le sable, sur la neige, il l'aurait même écrit sur son fiacre s'il avait pu. Et le plus fort est qu'il ne s'est jamais fait prendre, le scélérat !
(Gilbert Garistre, Aveux et anatropes)

Maintenant je l'imagine avec un tatouage "Liberté" sur la fesse, le montrant à un René Char sidéré, son fusil à la main.
RépondreSupprimerCela nous fait penser à Sébastien Lecornu montrant un beau char à l'épouse d'un général d'armée.
Supprimer