Il
devrait falloir un permis, pour lire certains auteurs. Cela nous
éviterait d'entendre des pots de pisse ramener Dostoïevski à leur
niveau, le qualifier de poussif et s'autoriser à l'appeler Dosto.
(Gilbert Garistre, Aveux et anatropes)
« Quand j'entends le mot vivre, je sors mon revolver ou du poison. » (Luc Pulflop)