Joséphin
Péladan dînait à l'huile, il trouvait cela plus sain que de dîner au
beurre. Sa maîtresse Henriette Maillat également. Mais pour le mage,
c'était aussi un moyen de réfuter esthétiquement Taine. Ce dernier, en
effet, ne jurait en art que par le beurre (Rubens, le Corrège, Boucher,
etc.).
(Gilbert Garistre, Aveux et anatropes)
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