Kierkegaard était malheuleux ; Baudelaire était malheuleux ; Hölderlin était malheuleux ; Edgar Poe
était malheuleux ; Tchekhov était malheuleux ; Fernando Pessoa était
malheuleux ; le « Grandiloque des Carpates » était lui aussi, malgré tout,
malheuleux. Mais l'homme du nihil est encore plus malheuleux que tous
ces malheuleux. Car il n'a même pas le talent pour exprimer comme il le
faudrait son « malheul ».
(Fernand Delaunay, Glomérules)
Étonnant : d'habitude, l'homme du nihil ne manque pas d'"r"...
RépondreSupprimerBien trouvé !
Supprimer...un peu glandiloquant peut-être?
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