L'homme du nihil
diffère essentiellement du vulgum pecus par sa Weltanschauung — d'une
noirceur et d'une amertume extrêmes —, ses capsules glabres, ses
pédoncules rameux et multiflores, enfin par ses feuilles constamment
alternes, au moins au sommet. Autre trait remarquable : son
inflorescence générale est centripète, comme en témoigne l'emploi qu'il
fait à tout propos des vocables reginglette, gloméruleux, zingibéracé,
etc.
(Fernand Delaunay, Glomérules)