Quand
on lit du Husserl, on est tellement secoué par ces histoires de
phénomènes qu'on doit se réfugier dans la cabine du bosco et y lutter
pour conserver son équilibre et un semblant de dignité.
(Gilbert Garistre, Aveux et anatropes)
« Quand j'entends le mot vivre, je sors mon revolver ou du poison. » (Luc Pulflop)