Theodor
Adorno, le célèbre philosophe de l'École de Francfort, était aussi
compositeur, ce qui explique pourquoi sa philosophie est adornée de
nombreux trilles et gruppetti. Lorsqu'il critique la « société de
consommation » (sa bête noire), c'est un déluge d'appoggiatures. Et quand
il s'en prend à l'industrie culturelle, il a de ces picchiettati... on
en est tout tourneboulé.
(Gilbert Garistre, Aveux et anatropes)
Tant qu'on ne trouve pas d'altérations accidentelles !
RépondreSupprimerPour ça, il n'y a pas de risque !
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