Ludus
À la suite de Paracelse, l'homme du nihil nomme ludus le
sédiment qui s'attache au fond des pots de chambre. Par analogie, il
emploie aussi ce terme pour désigner le fonds de lieux communs qui
constitue la « pensée » du monstre bipède.
(Lucien Pellepan, Énantioses profectives)
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