Marguerite
Duras trouvait Soupault laid, Cassou laid, tout le monde laid. Elle
n'aimait personne. Vous pouviez lui dire que Cassou, quand même, était
un poëte de l'essentiel (c'est-à-dire de l'immédiat et du spontané), et
que quant à Soupault, ses romans étaient de grandes proses lyriques où
évoluent des êtres transparents dans une atmosphère étrange, elle
rétorquait qu'elle s'en « battait l'œil ».
(Gilbert Garistre, Aveux et anatropes)
Ouf, j'ai eu peur, j'ai cru que mine de rien vous alliez dire du mal de la marque de riz qui a mes faveurs (la marque de riz Duras).
RépondreSupprimerAh bien il ne manquerait plus que ça.
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