« Quand j'entends le mot vivre, je sors mon revolver ou du poison. » (Luc Pulflop)
mardi 10 juillet 2018
Refuge ultime
Qu'ils sont loin, les jours d'innocence du suicidé philosophique ! Il peut s'écrier comme le rêveur de la fiction de Jean-Paul (la Nuit du nouvel an) : « Jeunesse, belle jeunesse, reviens ! » Mais la pente du regret est glissante et mène loin. Au lieu de s'y abandonner, ne ferait-il pas mieux de se réfugier dans une atmosphère de paix et de sérénité, par exemple celle du taupicide ?
Le maître Champfleury lui-même ne l'a-t-il pas déclaré ? « Il n'y a pas d'autre poésie que celle d'où s'exhalent les parfums grossiers (sic) du taupicide. »
(Robert Férillet, Nostalgie de l'infundibuliforme)
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