« Quand j'entends le mot vivre, je sors mon revolver ou du poison. » (Luc Pulflop)
jeudi 25 octobre 2018
Voie sans issue
L'homme du nihil, seul face à lui-même, s'angoisse, et il devient alors urgent de fuir. Dans sa quête frénétique d'une issue, il se lie au phénomène, s'inscrit dans l'espace mondain et le temps devançant. Mais c'est en pure perte, car les catégories de l'espace et du temps pur ne peuvent être circonscrites phénoménologiquement. — Ô vanité ! ô néant ! « ô aueuglement estrange des hommes, gloriatur in malitia sua ! »
(Théasar du Jin, Carnets du misanthrope)
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire