Dans Maria
Chapdelaine, quand François Paradis, le prétendant malheureux de Maria,
meurt pétrifié dans une tempête de neige, ses dernières paroles sont
« câlice » et « cibouère ». Il commence à dire « tabernacle » mais n'a
pas le temps d'achever. Déjà la mort est là, qui l'emporte.
(Jean-Guy Floutier, Philosopher tue)