Dans
son ouvrage Des Atomes et des hommes, Louis Leprince-Ringuet raconte
que l'inventeur du compteur Gégère, Hans Gégère, « craignait les
radicelles gamosépales de son humble mucron nodal ». Cette crainte le
rendait mélancolique et faisait qu'il « n'irradiait pas toujours la bonne
humeur ».
(Gilbert Garistre, Aveux et anatropes)
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