Pour
Cioran, l'angoisse est « une douleur éparpillée, dirigée vers le futur ».
Pour Férillet, c'est « la peur de ne pouvoir faire face aux embêtements
que nous réserve l'avenir par le truchement d'une mégère difforme au
faciès d'hippopotame. »
(Fernand Delaunay, Glomérules)
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