Adepte
de la « sobriété énergétique », le nihilique baisse, éteint et décale
tout ce qu'il est humainement possible de baisser, éteindre et décaler.
Mais pour le « vouloir-vivre » schopenhauerien, il ne peut rien faire : le
sien est déjà à zéro !
(Samuel Slippensohn, Follicules palingénésiques)