Au
dire de son ami Gérard Lebovici, le pénible Guy Debord « tournait en
rond dans la nuit et était dévoré par le feu ». Mais cela n'excuse pas
tout ! Si tous les gens qui tournent en rond dans la nuit et sont
dévorés par le feu s'adonnaient à des passe-temps aussi stupides que le « lettrisme » ou le « situationnisme », nous ne serions pas sortis de
l'auberge !
(Samuel Slippensohn, Follicules palingénésiques)
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