Il
faut être soit un abruti, soit le nihilique le plus endurci, pour
choisir de ne rien créer, de ne rien laisser derrière soi, de
disparaître sans laisser de trace. Pour un nihilique, même chevronné,
cela demande des nerfs d'acier ; pour l'abruti, c'est plus facile : il
suffit de suivre sa pente.
Il y a le nageur, on ne peut pas dire qu'il ne fait rien, à chacun de juger, mais en tout cas, il ne laisse pas de trace, ou alors vraiment minime.
RépondreSupprimerAlexandre le Grand avait lui aussi disparu, sans laisser de Thraces : il les avait massacré !
RépondreSupprimerBien vu, je n'y avais pas pensé.
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