Adepte
de la « sobriété énergétique », le nihilique baisse, éteint et décale
tout ce qu'il est humainement possible de baisser, éteindre et décaler.
Mais pour le « vouloir-vivre » schopenhauerien, il ne peut rien faire : le
sien est déjà à zéro !
(Samuel Slippensohn, Follicules palingénésiques)
Vertigineux ! Schopenhauer, "Volonté et sobriété énergétique" ! Beau titre de bouquin qui vous permettrait d'être invité à La grande librairie ! À vous ensuite gloire, euros et gonzesses ! Vous vous représentez le truc ? Vertigineux vous dis-je !
RépondreSupprimerC'est tentant, je dois l'avouer.
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