Sur
ce point, Heidegger a raison : avec l'étant existant, rien ne change,
c'est toujours la même histoire. Il fait le fanfaron, il conduit sans
les mains, roule à côté de la piste et se retrouve ensâblé dans le
fech-fech. Et alors, en avant les pelles et les tôles. Pauvre insensé !
Fou ! De conduire sans les mains !
(Lucien Ganne, Syllogismes de la mer Rouge)