Diodore
de Sicile dit que les habitants de Ceylan ont la langue fendue en deux
jusqu'à la racine, ce qui leur donne beaucoup de facilité à imiter le
chant des oiseaux. Il est prêt à le jurer à mortel, mais ce n'est pas la
peine, on est comme Barkis, on veut bien. Au point de dégoût où on en
est, on veut bien tout.
(Lucien Ganne, Syllogismes de la mer Rouge)
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