Charles
Baudelaire a raison : il est bien le cas que le poëte est semblable au
prince des nuées. Son bec long, épais et crochu porte des narines
tubulaires. Grâce à ses métaphores, il parcourt de grandes distances
sans effort. Il se nourrit de poissons, de calamars ou de krill, et
cætera.
(Henri-Marcel Chissant, Hippocastanacées)
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