Le « traczir
d'exister » n'est pas propre à l'homme, il affecte jusqu'aux plus
infimes bestioles. Comme le note le Grandiloque des Carpates : « les
animaux sont presque tous tristes, il n'y a guère que les souris qui
paraissent gaies. »
(Jean-Guy Floutier, Philosopher tue)
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