Selon
son propre aveu, le poëte hongrois Attila József n'avait pas un seul
ami (cf. son poëme Ni père ni mère). Fort marri de cette situation, il
se suicida en se jetant sous un train à l'âge de trente-deux ans.
Maintenant bien sûr, tout le monde l'aime, mais c'est trop tard. Oui :
trop tard.
(Louis Ribémont, Mémoires d'un gluon)
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