« Mon
Cicciobello, tes joues sont rouges, tu es malade ! Vite, ta température ! Oh là là, tu as de la fièvre ! Vitamines, lait... du sirop ! Tiens,
mon Cicciobello ! Oh, tu es toujours malade ! Essayons une piqûre ! Ah,
ça y est, je t'ai guéri. Cicciobello bobo, il a toujours besoin de toi. » — Pour pénétrer quelqu'un, pour le connaître vraiment, il me suffit
de voir comment il réagit à cette publicité pour le poupon Cicciobello.
S'il ne comprend pas tout de suite, inutile de continuer. (Stylus
Gragerfis, Journal d'un cénobite mondain)
(Fernand Delaunay, Glomérules)