« Quand j'entends le mot vivre, je sors mon revolver ou du poison. » (Luc Pulflop)
samedi 23 février 2019
Projet de roman
Au terme de son cheminement douloureux dans le « désert de Gobi de l'existence », l'homme du nihil ne trouve que solitude, déréliction et angoisse. Son ultime rencontre avec Irène, loin de marquer, comme pour Violaine et Jacques, la détente heureuse dans la confidence d'un amour sacrifié mais toujours vivace, porte au paroxysme de la cruauté le sacrifice qu'il s'impose sans le consommer jamais totalement.
(Théasar du Jin, Carnets du misanthrope)
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