Nul
mieux que Mircea Eliade n'a décrit l'action délétère des « mégères
difformes au faciès d'hippopotame ». Par elles, nous dit-il, « l'homme est
dissous, réduit à un plasma amorphe où se débattent le désespoir et le
néant ».
(Fernand Delaunay, Glomérules)
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