Un jour qu'il
se sentait d'humeur poétique, le moine japonais Sôgi écrivit : « Plus
fugace que l'éclat d'une feuille emportée par le vent, cette chose, la
vie. » Quelques instants plus tard, il passait sous un autobus.
(Jean-Guy Floutier, Philosopher tue)
Si ç'a été volontaire, alors Sôgi était un cumulard, l'humeur du jour n'était pas uniquement poétique.
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