Le
yawl du nihilique est mû par la même force que la barque du chasseur
Gracchus : le vent qui souffle dans les plus profondes régions de la
mort. Comme ce vent est très instable, le zélateur du Rien utilise, pour
équilibrer la poussée vélique, un tapecul dont l'écoute est fixée sur
une queue de malet.
(Louis Ribémont, Mémoires d'un gluon)